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                        Commentaire de Maëlys 

  Je m'appelle Maelys.Ma relation avec JL est d’ordre spirituelle et érotique. Pas simplement sexuelle.
L’érotisme est spirituel, de mon point de vue : c’est l’image que l’on perçoit de soi, au plus profond de nous, quand nos corps sont enlacés, ou simplement sculptés dans une position figée.C’est un Art de Vivre au Présent.
  JL et moi sommes partis sur une relation d’échanges, de partage de Bien-Être, et puis cela a évolué vers cet Art, dans un voyage rarement partagé... Nos différences disparaissaient. L’important était notre ressenti, et la spiritualité qui en émanait. Une forme de méditation tantrique, touchant à un pouvoir intérieur. Ignorante au départ de l’idée de mon partenaire, tout a été fait naturellement, simplement, sans idée préconçue. Par la suite, les photos étaient tellement parlantes, loin des clichés et stéréotypes habituels, que c’est devenu passionnant.
  A mon sens, c’était devenu la mise en images d’un Amour-Amitié, d’un érotisme à la fois sensuel et spirituel. La différence visible de nos corps est devenue la base de ce travail d’Art, et, finalement, l’on perçoit cette différence comme deux facettes d’une seule Vie... C’est cette relation de total lâcher-prise, de passion commune, cet Art de Vivre partagé, qui a établi ce travail photographique avec JL.
  Regardez, Voyez, Ressentez la Beauté de ces images, qui est notre façon de partager avec Vous...
     Maëlys

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  Être humain , être artiste, «la meilleure façon de faire est d’être», disent des Taoïstes, Jean Luc fait bouger des lignes de la pensée, des limites intellectuelles ont été repoussés grâce à une audacieuse et sensuelle « coopération » charnelle, alliée à une exigence esthétique et à un extraordinaire et bel abandon des protagonistes. 
Quand j’ai vu pour la première fois ces photographies, 
paraissait en première page de Libé en gros titre ; «  le plaisir pour tous ».
Je me rappelle avoir téléphoné à Jean Luc pour lui dire et ,pour peu qu’il en ait besoin, de l’encourager, parce qu’ils étaient dans le vrai... Avec art et par un  investissement total, sans discours, sans blah blah, ils ont fait bouger des lignes sociétales, ils nous font évoluer... Nous ne pouvons que vous remercier. Chapeau bas !!! 
Respectueuses salutations à vous deux. Pace & Salute ( mentale aussi) comme aiment à dire les habitants de l’ile de beauté et comme  aimait à dire aussi Bob Shigéo, mon vieil ami artiste; Amour & Imagination. 
   Patrice Jayne Brochery

  C'est a la fois étrange, malsain et fascinant. Le noir et blanc et les teintes passées y sont pour beaucoup. La maigreur des corps bien entendu. Le parfait mélange d'Eros et Thanatos.  Jean-Marc Remy

La Vie tient la Mort dans ses bras
La Mort l'embrasse
Les deux s'enlacent
La Mort tient la Vie dans ses bras

En noir et blanc sans artifices
La chair courtise les os
Le maigre retient le beau
Forme et informe font délices

Il n'y a plus ni faible ni fort
Deux opposés s'abandonnent
Il n'y a plus raison ou tort
Dans la lumière qui résonne

La Vie et la Mort s'enlacent
Ils ne font qu'un, rien ne s'oppose
Leur beauté s'offre à qui ose
Les regarder bien en face

   Jean-Michel Weber

  "Dans cet amas gourmand où s'aimantent la chair et l'os, Eros a vaincu Thanatos. Vertigineusement le sujet se dépossède pour devenir objet. C'est ainsi que l'artiste féconde un extrême de la beauté rarement atteint..."

   Stanislas Jankowiak

  "Des images érotiques d'une incroyable pudeur et d'un esthétisme hors normes, le tout servi par un contrôle total de la lumière et de la composition ... j'adore."

   Thierry Tramoni

  "Jean Luc est un mystique autodidacte de la photo, qui  met en scène, jeu de lumière et lignes de corps entrelacées laissant imaginer la fusion des corps et de l'esprit ." 
   Sarah Alvan

DIFFICILES et PROVOCANTES, les photos de Jean-Luc LEFEVRE ne peuvent laisser indifférent.
Tétraplégique suite à un accident, Jean-Luc LEFEVRE revisite l'érotisme, cette intimité dévoilée que la vie et nos mœurs tentent de lui confisquer. Ces photos, comme traitées à l'eau forte par la difformité du handicap en acide révélateur, nous renvoient violemment à l'apparence que nous prêtons à notre propre corps, lui aussi confronté à la dictature de l'image.
Bingo ! Ou « touché coulé » ! C'est à notre convenance. 
   Olivier Laboratoire

« Tendresse et rage de vivre réconciliées et sublimées »

   Antoine Faisant-Aupetit

Il y a parfois des sentiments, des émotions, des visions que seuls les peintres savent exprimer. Et puis il y a  cette réalité que seule la photo sait saisir.

Dans un premier temps, je n'avais vu que les photos présentées sur votre page Facebook, photos que j'avais trouvées superbes, fortes, graphiques, émouvantes, esthétiques, et j'en passe... Mais il me restait cette interrogation: pourquoi ce travail, quel était le sens de ces photos ?

Ayant découvert un lien sur votre site, j’ai pris le temps de le découvrir, d’y lire les textes et de revoir vos photos. Et j'ai eu les réponses à mes questions.

Du coup, je suis encore plus interpellé par l'ensemble de vos images, car au-delà des qualités premières que je leur avais trouvées et qui sont indéniables, il y a en plus une grande leçon d'humanisme, d'amour, de pudeur, de tolérance. Dénuées de toute vulgarité, on ne se sent pas voyeur. C’est très beau, et immensément touchant.  Bravo !

Cela me rappelle à quel point, au fil des années, la pratique du dessin de nu d’après modèles a changé mon regard sur les corps et m'a apporté une plus grande ouverture d'esprit.

Merci de m'avoir permis de découvrir votre univers.
   Eric Ligonnière

wow quelle fabuleuse découverte c'est beau c'est cru c'est émouvant
on comprend petit a petit ton handicap ta souffrance ton désir
c'est vraiment très beau et fort.
bravo l'artiste !

Jean-Luc i saw your photos, all of them, Jean-Luc and i read your story, and all the comments to your work. Well, what i can say more? i can't explain very well my impressions in english, but , however, even if i'm just an amateur photographer, i really appreciated your work, because it is your thought translated by images, about the sensuality and the Love. Yes i think that the first impression that i recived seeing your photos is Love and love for life, material and spiritual love, without no exception, between man and woman, where the body is an expression of the heart and the mind, so it's not important how beautiul could be. And the big contrast between the two body, adds with great force the expression of this love, a total love, out of any schema, any rule, becouse Love doesn't know schemes or rules, it is just Love. My sincere compliments dear Jean-Luc, i'm really glad and honored, how i said before, that a great photographer, and a great man, as you are, asked his friendship to me! Thank you so much!

Très beau travail qui touche au plus profond. Un vrai travail d'artiste.

   Marceline Nin

Touchée profondément par le travail de Jean-Luc. Viscéralement. Communion des corps et des âmes. Peau a peau vibrant et puissant. Sensualité brûlante d'énergie vitale.

Moi qui ai vu le travail de jean luc depuis ses balbutiements. 
  Ce travail accompli est une grande œuvre avant gardiste et atypique. J'ai vu tour à tour chaque travail sur les photos, la minutie et la recherche d'immortalité de ses œuvres. Il est un artiste incontesté sublimant l'érotisme dans le plus difficile appareil : Son corps. Les formes de la femme sont  transcendées et la lumière émane de toute onde sensuelle. Merci pour ton travail il n'égale avec rien car tu  es le precurseur de l'art érotique du genre. 

    Nathalie Chave

Ombres mouvantes dans la nuit me hantent 
Morceaux de nous en alternance
Dansent dans la pénombre.
Je m'accroche à l'image,
Souvenirs fugaces nous attachent 
Dans l'anthracite de nos desirs
Liés à l'instant ton corp tremble
Contre moi
Contre jour
Sans contrainte de temps
Rêve déclassé 
Flexion de l'espace torturé 
on flotte, libre de tout jugement
De morale mortifère 
Trouble renaissance de la chair
Dans la pénombre ou nos corps dansent
De macabre beauté....
   Barbara D'Antuono

Sculpture saisissante que ton corps broyé aimant de toutes ses forces. L’expressionnisme révèle son intensité drammatique.  Nulle obscénité ici dans la convulsion des corps, une femme en dévotion tend sa croupe en calice…  féminin sacré, tu mèles ta vie à ce Christ de nerf et d’os.

   Geoffray Lloveras

C'est pas facile. C'est un travail un peu perturbant, mais passionnant. La forme comme tu travaille les corps fais penser au sexe, mais aussi a la faim.
La distorsion est indécente, mais très bien faite, grotesque, sexuelle.
  António José

Pour moi c'est de l'Art hors de la conception du beau et de l'esthetique. L'émotion en première ligne, les images vous secouent et vous bousculent. Une fois qu'on les a vu, on ne les oublie pas. Elles restent gravées dans votre mémoire. Je pense que le public qu'il aime ou pas sera hanté.

   Hélène Monjo

Jean-luc Lefevre n’a jamais été conventionnel. 
Tout jeune déjà, il traçait sa route, sur sa moto, laissant le regard d’autrui derrière lui, prenant un malin plaisir à être lui-même. : Il est. Il existe !
A la suite d’un accident, il a perdu sa mobilité mais aussi ses sensations corporelles.
Mais, doté d’un puissant instinct vital, il est revenu à la Vie grâce à la pensée, la méditation, l’esprit et a la volonté de jouir encore et toujours plus et mieux.
Perfectionniste, il aime la précision aussi bien dans l’acte de Création que dans la sensualité de ses accords esthétiques, sonores et visuels.
Artiste, il vibre et faire vibrer.
La musique, les  Corps a Corps, il les aime puissants, transcendants, vivifiants. 
Ses œuvres visuelles sont un coup de poing : on reçoit ces corps entremêlés comme des boulets de canon.  
Les os, les courbes, les vides, les pleins, les angles, les rondes, les blanches, les noires, s’entrechoquent, se croisent, se mêlent et créent l' étincelle.
Il caresse le corps de la Femme comme il caresse ses guitares, avec avidité. 
Il s’enroule comme un serpent autour du corps féminin pour l’engloutir, le sublimer, le faire vibrer.
Gourmand de l’énergie vitale, il nous montre la Mort atroce, squelettique qui s’agrippe avec force, aux rondeurs exquises de la Vie bourgeonnante.
La Mort n’est jamais aussi bruyante, aussi belle, que lorsque elle boit l’eau fraîche et pure à la source de la Vie. Et ce sont deux corps qui dansent, se cambrent, s’absorbent, créant à partir d’un chaos vigoureux, la puissance de l’éclair.
Nous aimons Jean-Luc Lefevre ou nous le détestons : il ne nous a jamais laissé indifférent et il nous le rappelle encore une fois.
Et nous, on l’aime !
   Dominique Chef

  Pour moi tes photos je pourrais les intituler : rencontre ! Mais la première chose que j’ai vue sans analyse comme ça de suite. C’est l’image de ton corps  « Christiques «

C'est super !!j'aime beaucoup le système des thématiques!!....les ombres et lumières...Bravo l'ami..un artiste est né! 

Les créations de Jean-Luc sont à l’image de son esprit : volontairement décalées de “ce qui se fait” en société elles sont le fruit d’un puissant travail de création, de construction.
Quel culot de confronter le yin et le yang en termes d’esthétique sensuelle.
Le résultat d’un événement  qui nous aurait peut-être anéantis vous et moi, lui le transcende en art.
Je ne doute pas que ce site vous apporte un plaisir visuel, en connaissant l’auteur j’ai la chance de profiter du même plaisir auditif : dans les discussions ses arguments proviennent des introspections d’un esprit dopé par des efforts passés et présents d’enrichissement culturel.
Chapeau l’artiste.

   Laurent Jaubert

Superbe travail que celui de Jean Luc Lefèvre. Il arrive à dynamiter concepts et apriori avec des images qui traitées différemment auraient pu être extrêmement choquantes. Là, avec un esthétisme rare et une magistrale maitrise de la lumière, Jean Luc nous montre la relation entre un homme d'un certain âge et d'une jeune femme, entre l'ombre et la lumière, entre le handicap et la pleine jeunesse, des images qui ne cachent rien de leur intimité et qui en sont pourtant pleines de pudeur et de poésie. Chapeau Monsieur Lefèvre ! C'est une sublime quadrature que vous nous donnez à voir là.  

   Hubert Jeannin